Après un an de lutte contre une pandémie aux symptômes relativement bénins, une nation frustrée finit par baisser sa garde. C'est alors que le virus mute spontanément, donnant naissance à un fléau qui altère l'esprit.
Les rues se déchaînent dans la violence et la dépravation, les personnes infectées étant poussées à commettre les actes les plus cruels et les plus horribles qu'elles n'auraient jamais pu imaginer...
2022
Fantastic'Arts : Nommé pour le Grand Prix
Nommé pour le Prix du Jury
Nommé pour le Prix du Jury Jeunes
Nommé pour le Prix de la Critique
Nommé pour le Prix du Public
The Sadness finit par se rapprocher de certains films sans concession du tournant des années 1980, italiens notamment, apportant une facture contemporaine (narration dynamique, effets spéciaux et réalisation efficaces) à des bandes qui tenaient à la fois de la grosse farce sardonique et du cri désespéré dans la nuit. Mad Movies
Gare à vous qui croyez découvrir une série B gore, légère et divertissante : malgré sa générosité, The Sadness broie l'humanité de ses personnages et la nôtre au passage. Ecran Large
Avec sa réalisation hyper immersive et son rythme effréné, The Sadness ne laisse guère de moments de répit aux spectateurs, mais c’est surtout son jusqu’au boutisme dans le gore et le crado qui marquera les esprits. C’est simple : on n’avait pas vu autant de débordements craspecs au cinéma depuis A Serbian film ! Filmsactu
Comme un tour de train fantôme lancé à 200 à l'heure, le film effraie, fait rire puis hurler, et le spectateur se retrouve très souvent une main devant les yeux, incrédule devant le déferlement de violence. Le Point
Un défouloir avec 100 idées à la minute, chauffé à blanc et bâti à l’énergie pure. Bien plus qu’une curiosité : la naissance d’un cinéaste. Première
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