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Affiche du document Compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxique ? - partie 1

Compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxique ? - partie 1

C.E.R.I.M.E.S.

1h30min03

  • Sciences de la vie, Biologie
Compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxiques ? Qui croire, que savoir ?
Conférence-débat co-organisée par la Mission Agrobiosciences et le Groupe ESC Toulouse
9 décembre 2010, hôtel de région Midi-Pyrénées
Après la relation entre l’alimentation et le cancer, puis les cosmétiques bio, cette troisième collaboration entre la Mission Agrobiosciences et l’Ecole supérieure de commerce de Toulouse porte sur les compléments alimentaires, ces fameux suppléments dont les consommateurs attendent tant, trop ? Trop beaux pour être vrais ?
Des élèves du Mastère Management des Industries de Santé ont réalisé, en amont, un important travail de recherche bibliographique, de repères chiffrés, de définitions et des entretiens auprès d’experts et de consommateurs, regroupés dans un dossier.
Pour aller plus loin, la Mission Agrobiosciences et le Groupe ESC Toulouse, en partenariat avec l'Université de tous les savoirs (Canal-U) et radio FMR, organisaient le jeudi 9 décembre 2010, à l'hôtel de Région Midi-Pyrénées une conférence-débat : "Les compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxiques ? Qui croire ? Que savoir ?".
Laissant une large place au débat avec le public, ces trois heures de rencontres avaient pour objectif de permettre d’approfondir les tendances de consommation, de mieux décrypter les différents enjeux sociétaux et économiques, mais aussi de faire le point sur le front des connaissances scientifiques et la nouvelle réglementation.
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Affiche du document Quels textiles pour nos vêtements de demain ?

Quels textiles pour nos vêtements de demain ?

Michel SOTTON

1h12min55

  • Chimie, Cristallographie, Mineralogie
  • Génie chimique et techniques connexes, chimie industrielle
  • Fabrication industrielle, Industries de transformation
Au-delà de l'innovation esthétique qui est au coeur des métiers du Textile et de la Mode et qui relève du domaine des arts plastiques, l'Industrie Textile a toujours su tirer partie des progrès technologiques réalisés par des secteurs connexes (mécanique, chimie) pour accroître sa compétitivité et proposer des produits innovants et différenciateurs. Nous examinerons comment cette co-évolution scientifique et technologique peut se poursuivre au cours du siècle, au contact de nouveaux partenaires (cosmétique, santé, télécommunication, informatique) avec l'émergence de nouveaux savoirs et de nouvelles technologies (nanotechnologie, biotechnologie, N T I C). Une vague naissante de produits textiles innovants se profile, porteuse de poly-fonctionnalités, d'intelligence et qui devrait satisfaire les attentes d'un consommateur toujours plus informé, averti, conscient de sa différence et qui entretient de nouveaux rapports à son corps. Le consommateur exige de plus en plus de qualité dans cette intimité qu'il découvre et cultive entre son corps et ces fibres textiles qui constituent son premier environnement vestimentaire et sensoriel. L'enjeu majeur, dans cette ère, consistera à rencontrer le consommateur autour de réels textiles-services, au coeur desquels, il se retrouvera avec une information ayant du sens pour lui. Enjeu stratégique pour une filière de production qui doit se ponter avec les nouvelles filières de consommation, par une ingénierie plus anthropocentrée, prenant en compte dès les premiers stades de conception des produits, les facteurs humains.
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Affiche du document Conférence de Naomi Klein : Tout peut changer, capitalisme et changement climatique

Conférence de Naomi Klein : Tout peut changer, capitalisme et changement climatique

1h22min06

  • Économie
  • Sciences de la vie, Biologie
En décembre 2015, Paris (Le Bourget) a accueilli la Conférence de l’ONU sur le changement climatique. Ce sommet international devait constituer une étape décisive après plus de 20 ans de négociations internationales sur le climat.
Au cours de ces deux décennies, les émissions de gaz à effet de serre n’ont pas cessé d’augmenter. Les pays les plus pollueurs renoncent peu à peu à toute politique ambitieuse de réduction de leurs émissions.
Il n’y a là aucune fatalité, nous dit la journaliste et essayiste Naomi Klein dans son livre Tout peut changer, capitalisme & changement climatique (Actes Sud, mars 2015). Elle déconstruit avec sa lucidité et sa rigueur habituelles les mythes qui parasitent le débat sur le climat et constituent autant d’obstacles à l’action : non, le marché ne nous sauvera pas ; oui nous pouvons tourner la page des combustibles fossiles à condition d’accepter de limiter le pouvoir des multinationales et de repenser le fonctionnement de nos sociétés et de nos institutions.
Elle montre également que la bataille pour la transition vers des sociétés justes et durables est largement engagée. Les mobilisations sociales pour la justice climatique ouvrent en effet la voie vers une transformation radicale de nos sociétés : changer le monde plutôt que le détruire.
RÉALISATION
Pôle Création Audiovisuelle / Service Communication 
Alexandre Boutin - Lucie Fradet - Abdou Gassama - Patrick Masclaux
https://vimeo.com/paris8webtv
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Affiche du document La physique quantique (Serge Haroche)

La physique quantique (Serge Haroche)

Serge HAROCHE

1h12min46

  • Physique
"La théorie quantique, centrale à notre compréhension de la nature, introduit en physique microscopique les notions essentielles de superpositions d'états et d'intrication quantique, qui nous apparaissent comme "" étranges "" et contre-intuitives. Les interférences quantiques et la non-localité - conséquences directes du principe de superposition et de l'intrication - ne sont en effet pas observables sur les objets macroscopiques de notre expérience quotidienne. Le couplage inévitable de ces objets avec leur environnement détruit très vite les relations de phase entre les états quantiques. C'est le phénomène de la décohérence qui explique pourquoi autour de nous l'étrangeté quantique est généralement voilée. Pendant longtemps, superpositions, intrication et décohérence sont restés des concepts analysés à l'aide d'" expériences de pensée " virtuelles, dont celle du chat de Schrödinger à la fois mort et vivant est la plus connue. À la fin du XXe siècle, les progrès de la technologie ont rendu réalisables des versions de laboratoire simples de ces expériences. On peut maintenant piéger et manipuler des atomes et des photons un par un et construire des systèmes de particules suspendus entre deux états quantiques distincts qui apparaissent ainsi comme des modèles réduits de chats de Schrödinger. Au delà de la curiosité scientifique et du défi que constitue l'observation de l'étrangeté quantique pour ainsi dire in vivo, ces expériences éclairent la frontière entre les mondes classique et quantique et ouvrent des perspectives fascinantes d'applications. "
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Affiche du document Darwin et les origines de l’Homme : un siècle de perdu ! - Pascal Picq

Darwin et les origines de l’Homme : un siècle de perdu ! - Pascal Picq

Pascal Picq

1h28min47

  • Généralités
Nos origines sont africaines, mais il a fallu attendre 1959, soit exactement un siècle après la publication de « l’Origine des espèces au moyen de la sélection naturelle », pour qu’on vérifie l’hypothèse avancée par Charles Darwin dans « La filiation de l’Homme en relation avec la sélection sexuelle » de 1871. Comment a-t-il élaboré cette hypothèse ? Tout simplement en se fondant sur les relations de parenté entre l’Homme et les grands singes africains – les gorilles et les chimpanzés -. Les nombreux fossiles découverts depuis – Mr. Zinj, Ms. Ples, Lucy, Abel, Nariokotome Boy, Toumaï, Ida et tant d’autres – sortent des sédiments grâce à la plus grande théorie jamais forgée par le génie humain : l’évolution. Mais il reste encore tellement à découvrir, car si la paléoanthropologie ne cesse de compléter notre arbre phylogénétique, le programme de recherche proposé par Darwin sur nos origines comportementales et cognitives commence à peine. (cf. Pascal Picq et Philippe Brenot, Le Sexe, l’Homme et l’Evolution, Odile Jacob 2009 ; Pascal Picq et Yves Coppens, Le Propre de l’Homme, Fayard, 2001).

 Où en Afrique ? Depuis la découverte de Lucy en 1974 jusqu’à celle d’Orrorin en 2000, le « fossile du millénaire », les fossiles indiquaient l’Afrique à l’est des vallées du Rift ; c’est l’East Side Story d’Yves Coppens. C’est alors qu’arrive Toumaï provenant du désert du Djourab au Tchad et âgé de 7 millions d’années. Du coup, on ne sait plus si la séparation entre notre lignée et celle qui donnera les chimpanzés s’est faite à l’ouest ou à l’est du Rift. En tout cas, on se trouve près du dernier ancêtre commun aux hommes et aux chimpanzés d’aujourd’hui, bien que l’on continue à ignorer ces derniers. Or voilà qu’ils se rappellent aux bons souvenirs des Hommes avec la publication du séquençage de l’ADN d’un chimpanzé en septembre 2005. D’un côté des fossiles qui enfoncent les origines de notre lignée dans le temps, de l’autre de l’ADN qui les rapprochent dans le temps. Le défi des origines se situe là, à la rencontre des ces deux lignées sœurs grâce à des fossiles et des molécules d’ADN.

On n’a pas encore pris la mesure de la révolution paradigmatique en cours entre, d’un côté, des espèces fossiles de plus en plus nombreuses et, d’un autre côté, un génome se rapportant à moins de 25.000 gènes et quasi identique entre les hommes et les chimpanzés actuels. A moins de sombrer dans un réductionnisme halluciné dans la quête improbable du « gène de la bipédie ou du langage » – ce que font trop de généticiens offrant ainsi une critique aisée et pertinente aux créationnistes et aux sciences humaines envers l’anthropologie évolutionniste -, il convient de rapprocher les recherches sur l’évolution du génome et des comportements, ce qui mobilise l’éthologie et les sciences cognitives comparées pour les espèces actuelles, et l’archéologie préhistorique pour les espèces fossiles. Un changement de paradigme donc, entre les modèles déterministes vers des modèles constructivistes qui interpellent les formes encore mal explorées de ce qu’on appelle l’épigénétique. Se profile, enfin, le programme de recherche suggéré par Darwin en 1871 – 1872.
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Affiche du document Les planètes et leur exploration

Les planètes et leur exploration

Philippe Masson

1h14min18

  • Astronomie, Astrophysique, Recherche spatiale, Géodésie
L'exploration de la lune a été le point de départ de celle des autres corps du système solaire. En septembre 1968, la sonde soviétique Zond 5 contournait la Lune pour la première fois de l'histoire spatiale. Russes et Américains allaient se livrer à une course effrénée pour arriver les premiers sur notre satellite naturel. Le 20 juillet 1969, le module lunaire Eagle de la mission américaine Apollo 11 se posait dans la Mer de la Tranquillité. A l'origine, défi politique entre les deux superpuissances, la course à la Lune devint assez rapidement une compétition scientifique et technologique. Russes et Américains allaient entreprendre pendant une vingtaine d'années une exploration systématique du système solaire. Les Russes allaient concentrer leurs efforts sur Vénus et Mars. La sonde Venera 9 (URSS) se posa sur Vénus en octobre 1975. De leur coté, les américains enregistraient un certain nombre de succès avec le premier survol de Jupiter en 1973 (Pioneer 10), celui de Mercure en 1974 (Mariner 10), l'atterrissage de deux sondes automatiques à la surface de Mars en 1976 (Viking Lander 1 et 2), et le périple des deux sondes Voyager dans le système solaire externe de Jupiter (1979) à Neptune (1989). Mais cette période fut aussi marquée par un certain nombre d'échecs. Les échecs des missions Mars-Phobos (1988) et Mars 96 allaient sonner le glas du programme spatial russe. Du coté américain, le programme spatial avait marqué une pose à la suite de la catastrophe de la navette Challenger (1986). Depuis les années 90, la NASA a entrepris un programme ambitieux pour l'exploration de Mars, qui risque de subir quelque retard à la suite de l'échec récent des missions Mars Climate Orbiter et Mars Polar Lander. Mais ces échecs ne doivent pas pour autant occulter le succès des missions Mars Global Surveyor et Galileo (Jupiter) qui se déroulent actuellement. Les européens ne sont pas en reste. Ainsi, l'Agence Spatiale Européenne (ESA), qui participe à la mission Cassini-Huygens (ESA-NASA) d'exploration de Saturne et de son satellite Titan, prépare activement la mission Mars Express (2003). De son coté, le Centre National d'Etudes Spatiales (CNES) français, se prépare à collaborer étroitement avec la NASA pour l'exploration de Mars.
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Affiche du document 10. Foresterie et utilisations du bois de châtaignier

10. Foresterie et utilisations du bois de châtaignier

Gérard BRIANE

47min43

  • Économie
  • Sciences de la vie, Biologie
  • Botanique
  • Agriculture, Exploitation de la faune et de la flore
Le bois du châtaignier est naturellement durable en raison de sa forte teneur en tanin qui lui confère une grande résistance aux diverses agressions : champignons, insectes et autres éléments naturels. Son utilisation passée et actuelle est très variée. Certains usages ont aujourd'hui quasiment disparu mais d'autres perdurent : le bois de chauffe, la menuiserie et l'ébénisterie, le bois de charpente et d'ossature, la fabrication de parquets et, à présent, la fabrication de meubles design. La vannerie a toujours été une valorisation artisanale importante et spécifique au bois de châtaignier, un bois souple et facile à travailler. Mais aujourd'hui, les professionnels lui accordent bien d'autres qualités et responsabilités.
En effet, le châtaignier, parmi les feuillus, est une essence qui a une croissance assez rapide et de bonnes aptitudes à une exploitation en sylviculture dynamique. Il offre un prix très intéressant, parfois supérieur au chêne pour les acheteurs du Sud de l'Europe (Italie, Espagne). Il connaît de grands défis car il souffre de diverses pathologies sanitaires qui affectent la santé de ses peuplements (surtout en forêts) : le chancre, l'Encre, la petite guêpe du châtaignier (cynips), etc. Malgré tous ces problèmes, il a un fort potentiel parce que c'est un bois qui, dans certaines conditions, est pratiquement comparable aux bois tropicaux, ce qui en fait une essence aux usages multiples, tant par sa durabilité, en extérieur, que par son potentiel du point de vue de l'innovation technologique et du développement de produits nouveaux. Mais il a aussi un grand avenir face au concept de développement durable : c'est un matériau renouvelable, c'est une matière première pour de nombreux usages, où rien ne se perd (chimie, pâte, etc.), et c'est une matière première utilisable pour produire de l'énergie. A une époque où l'on souhaite moins polluer que par le passé, disposer de bois devient un atout important pour la construction car sa mise en oeuvre est économe en énergie. Le châtaignier est donc un bois polyvalent, multifonctionnel et qui, parmi les feuillus, est celui qui a le plus large domaine d'utilisation.
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Affiche du document Les trous noirs et la forme de l'espace

Les trous noirs et la forme de l'espace

Jean-Pierre LUMINET

1h16min11

  • Mathématiques
  • Astronomie, Astrophysique, Recherche spatiale, Géodésie
La théorie de la relativité générale, les modèles de trous noirs et les solutions cosmologiques de type " big-bang " qui en découlent, décrivent des espace-temps courbés par la gravitation, sans toutefois trancher sur certaines questions fondamentales quant à la nature de l'espace. Quelle est sa structure géométrique à grande et à petite échelle ? Est-il continu ou discontinu, fini ou infini, possède-t-il des " trous " ou des " poignées ", contient-il un seul feuillet ou plusieurs, est-il " lisse " ou " chiffonné " ? Des approches récentes et encore spéculatives, comme la gravité quantique, les théories multidimensionnelles et la topologie cosmique, ouvrent des perspectives inédites sur ces questions. Je détaillerai deux aspects particuliers de cette recherche. Le premier sera consacré aux trous noirs. Astres dont l'attraction est si intense que rien ne peut s'en échapper, les trous noirs sont le triomphe ultime de la gravitation sur la matière et sur la lumière. Je décrirai les distorsions spatio-temporelles engendrées par les trous noirs et leurs propriétés exotiques : extraction d'énergie, évaporation quantique, singularités, trous blancs et trous de ver, destin de la matière qui s'y engouffre, sites astronomiques où l'on pense les avoir débusqués. Le second aspect décrira les recherches récentes en topologie cosmique, où l'espace " chiffonné ", fini mais de topologie multiconnexe, donne l'illusion d'un espace déplié plus vaste, peuplé d'un grand nombre de galaxies fantômes. L'univers observable acquiert ainsi la forme d'un " cristal " dont seule une maille correspond à l'espace réel, les autres mailles étant des répliques distordues emplies de sources fantômes.
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Affiche du document La chimie des sols

La chimie des sols

André AMBLES

1h15min25

  • Chimie, Cristallographie, Mineralogie
  • Agriculture, Exploitation de la faune et de la flore
Le sol est un milieu essentiel pour de nombreux êtres vivants, il constitue un véritable réacteur biologique dont les principaux processus concernent la transformation de la matière organique. Du fait des pratiques culturales modernes, le taux de matière organique des sols tend à diminuer. La matière organique joue pourtant un rôle considérable sur les propriétés chimiques et physiques des sols par exemple la perméabilité, la stabilité structurale, la capacité de rétention et de circulation de l'eau. Le problème actuel grave de l'érosion des sols est pour une grande part une conséquence de teneurs insuffisantes en carbone organique. Mieux connaître les processus de fonctionnement des sols pour mieux les utiliser et les préserver impose de bien connaître leur matière organique et les réactions de transformation qui l'affectent. Dans les sols, les formes les plus intéressantes de matière organique sont les lipides et les substances humiques dont la structure moléculaire est encore largement inconnue et la définition peu précise. Le carbone organique des sols est d'origine végétale ou microbienne. L'activité biologique transforme une partie du carbone végétal ou microbien - par un processus naturel appelé humification - en composés de type " humique ", plus stables que les formes initiales et qui correspondent probablement à des formes transitoires de " stockage " de carbone organique dans les sols. Ces processus ne sont que partiellement connus. À terme, une partie du carbone organique-déchet " propre " pourrait être facilement recyclée, à un coût réduit économiquement acceptable, pour corriger les pratiques actuelles et ainsi compenser les déficits en carbone. Des résultats particulièrement intéressants ont déjà été obtenus. À l'inverse, certains sols carencés à activité biologique réduite, où la matière organique tend à s'accumuler, peuvent être facilement améliorés en compensant les carences et en favorisant ainsi le turn-over de la matière organique.
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